"Laurent est très humble. Il a remporté
Monaco F3, les championnats de France et d'Allemagne
de Supertourisme, les 24H du Mans et il n'a pas changé
pour autant."
"Ce n'est pas parce qu'il est mon pote qu'il
ne me fera pas de coups tordus. Je pense qu'il n'en
fait à personne. Se battre contre lui dans
de telles conditions est vraiment sain."
"J'aimerais bien faire Le Mans avec Laurent.
Nous l'avons gagné tous les deux séparément.
Il serait bien maintenant de pouvoir le remporter
ensemble."
Eric Hélary,
concurrent et néanmoins grand copain de Laurent,
fin 1998.
"C'est
très prometteur. Il a été vraiment
très bon, surtout s'il on tient compte du fait
qu'il n'avait jamais piloté une berline avec
conduite à droite."
Mark Busfield,
manager Team RML-Nissan, après les premiers
tours de roues de Laurent au volant de la Primera,
1999.
"Le
moins que l'on puisse dire, c'est que ça leur
[NDR: les anglais] a changé la vie, surtout
depuis que Laurent s'est mis à avoir la mauvaise
idée de tout rafler. Ça les agace un
peu, à cause de la sempiternelle rivalité
franco-anglaise. Entendre trop souvent la Marseillaise,
ce n'est pas bon pour leur tympans."
Jean-Christophe Boullion,
pilote Renault en BTCC, 1999.
"Il
y en a assez d'entendre cette Marseillaise sanguinaire
tous les week-ends !"
David Leslie,
coéquipier (dominé) de Laurent chez
Nissan en BTCC, 1999.
"Les
relations entre pilotes, du fait de nos obligations,
sont rares, je considère avoir été
bien accueilli par mes pairs. Cela a été
une occasion de découvrir Laurent Aiello, avec
qui j'entretiens d'excellents rapports."
"C'est un garçon qui est très sympa, avec qui le contact
est facile, quand on est un peu libre tous les deux
et qu'on peut passer des soirées ensemble c'est très
sympa aussi."
Jean Alesi,
l'autre pilote français en DTM, 2002.
"Laurent
est toujours très rapide, il est aussi très solide
et quelque soit le circuit sur lequel on va il est
toujours aux avant-postes. Pour moi, il est une sorte
de professeur et j'apprends beaucoup en voyant comment
il travaille. Il a beaucoup d'expérience et je peux
en tirer profit quant à mon pilotage."
Mattias Ekström,
coéquipier de Laurent chez Abt-Audi, 2003.
"Je
le connais de manière personnelle, je le connais
de manière professionnelle, et je préfère
piloter avec lui que contre lui. Cette année
nous serons adversaires sur la piste mais c'est vrai
qu'avec ce genre de voiture c'est l'un des meilleurs
pilotes au monde, si ce n'est le meilleur."
Allan McNish,
ancien coéquipier de Laurent en F3000 et au
Mans, pilote Audi en DTM, début 2005.
"Laurent
pour moi c'est un des meilleurs pilotes de Tourisme
au monde, il a gagné tous les championnats
majeurs dans cette discipline, s'il a la bonne voiture
il sera encore une fois difficile à battre."
Bernd Schneider,
quadruple champion DTM, début 2005.
"Laurent
est vraiment un super compétiteur, c'est un
très grand pilote, très difficile à
battre, avec Audi il a pu aller conquérir le
titre en 2002, maintenant on se bat contre lui [...]
mais c'est un type sympa, et un super pilote."
Tom Kristensen,
sextuple vainqueur au Mans, pilote Ausi en DTM, début
2005.
"C'est
bien de l'avoir avec nous dans l'équipe, c'est
un bon coéquipier, très expérimenté,
spécialisé dans les voitures de tourisme.
J'espère qu'il pourra nous aider un petit peu
dans l'équipe."
Heinz-Harald Frentzen,
coéquipier de Laurent chez Opel, début
2005.
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"Pour
une multitude de détails il [NDR: Altfrid
Heger] nous a été précieux.
Il est informé quand certaines équipes
font des essais. Du circuit où elles ont tourné,
des chronos... Il connaît parfaitement les tracés,
les virages plus importants que les autres, la granulométrie."
Laurent Aiello,
à propos de son coéquipier chez Peugeot,
fin 1996.
"Dès
le départ, nous nous sommes parfaitement entendus
avec Allan et Stéphane. Nous nous connaissions
depuis pas mal de temps. Cela a tout de suite créé
une symbiose positive et dans l'ensemble j'ai été
très bien intégré dans l'équipe."
Laurent Aiello,
après sa victoire au Mans en 1998.
"Il
[NDR: Eric Hélary] a remporté
la plupart des catégories dans lesquelles il
était engagé. Cela prouve déjà
sa force, sa capacité à s'adapter et
à vite se révéler très
rapide. En qualification, Eric est à mon avis
plus incisif, plus agressif que moi."
Laurent Aiello,
à propos de son "pote" d'enfance.
"[Le
golf] c'est sympa, mais ça ne remplace pas
une bonne partie de carte avec les deux loustics
[NDR: J.-C. Boullion et Y. Muller]. Dommage que,
pour le tarot, il nous en manque un quatrième."
Laurent Aiello,
à propos de ses activités en Angleterre,
1999.
"Entre
David [NDR: Leslie] et moi, la transparence
a toujours été de mise. Il savait quels
étaient nos réglages et réciproquement."
Laurent Aiello,
à propos de son coéquipier chez Nissan,
fin 1999.
"Cet
hiver, nous étions quelques pilotes au Castellet.
Il [NDR: Jean Alesi] est venu nous saluer.
Puis, en piste, il s'est mis derrière moi et
m'a suivi pendant quelque temps. A la fin d'un tour,
il m'a fait un petit signe sympa. J'ai trouvé
ça bien. Ça m'a touché. [...]
J'ai trouvé quelqu'un qui a su rester simple."
Laurent Aiello,
à propos de l'autre "französich"
en DTM, Jean Alesi, avril 2002. |